Textes et Nouvelles

Hello! Alors voilà, je suis PrincesseMiila sur sa lancé, je poste à mon tour ^^
Donc, je mettrai ici des nouvelles et des textes indépendants, à vous de me dire s'ils sont bien, je vous fais confiance!
Je me lance, je vous poste le début de ma nouvelle que j'ai fini y a deux jours à peu près :

La neige tombait, doucement maintenant. Rien à voir avec cette nuit, où la tempête faisait rage. Assise devant la fenêtre j'observais les flocons qui tombaient, recouvrant la campagne d'un linceul immaculé. Les deux grands chênes du parc avaient tellement de neige dans les branches que c'étaient à se demander comment ces dernières faisaient pour tenir. Le parc s'étendait loin autour de la maison, avant les vignes. L'herbe était recouvert d'un épais manteau de neige, qui faisait ressembler les bosquets à des boules de coton. Quand aux fontaines, l'eau avait gelé. Mon oncle et ma tante -les habitants de cette demeure- avait laissé la grande grille d'entré ouverte, de peur que le froid empêche de l'ouvrir. Une maison complètement coupée du monde. Enfin, un château plutôt, que Annie -ma tante- et Jean -mon oncle- avait entièrement restauré. Il était maintenant parfaitement rénové, comportait cinq chambres, sans compter celle de mon oncle, une cuisine très bien équipé, un salon avec une cheminée, un bureau, une immense bibliothèque... Et bien sûr, la décoration était très... ''traditionnelle''. Je poussai un soupir d'ennui. La bibliothèque était le seul endroit où je pouvais me poser ici, mais elle était depuis peu en travaux, vu que Annie voulait l'agrandir et faire un coin ''salon de thé''. La solitude était omniprésente entre ces murs froids de pierre. J'aimais la solitude, mais, à un certain niveau, cela devenait très pesant. Et puis ce château... Il dégageait quelque chose d'effrayant, mais en même temps fascinant. Attrayant. Terriblement attrayant. Mais la plupart du temps, l'ennui était la seule chose que je trouvais ici, lorsque avait lieu les grandes fêtes. Apparemment, j'étais la seule à le trouver si bizarre. C'était sûrement dû au fait, que j'étais moi même bizarre, pour ne pas dire dérangée. Je souris discrètement en observant la lumière des bougies se reflétait sur la vitre. Toute ma famille s'était donné beaucoup de mal à décorer l'immense château pour Noël. Et bien sûr, ma chambre -que je partageais avec deux de mes cousins- n'avait pas été épargné. Des guirlandes lumineuses trônaient un peu partout, les bibelots côtoyait des pères noëls à l'air béat qui chantaient des morceaux de musique stupides. Quand au sapin... Il devait faire deux fois ma taille! J'avais été obligé de venir aider mes cousins et cousines, qui s'en sortaient très bien sans moi. Surtout que pour attacher des guirlandes et mettre des boules n'importe où, il n'y avait pas besoin d'y être à cinquante! Noël... Est ce que le fait de haïr touts ces fêtes de famille stupides fait de moi quelque de sombre? Franchement, je ne me souvenais pas avoir aimé Noël, même lorsque j'étais toutes petite. J'entendis derrière moi des bruits de pas. Ils résonnèrent, entre les murs comme si l'on avait était dans une église. Je tournai distraitement la tête. Une femme d'une quarantaine d'année, ni trop mince, ni trop enveloppé, le visage jovial orné de deux fossettes, deux yeux couleur noisette, me souriait. Elle avait mis un long manteau marron-vert par dessus son ensemble rouge et une écharpe.

Moderation's power : Sashea, merci de ne pas t'auto-quoté (surtout si c'est pour ne rien ajouter). - Fin de l'acte de modération

Tu as une assez bonne maîtrise de langue pour rendre ton texte agréable à lire. Attention cependant, tu fais de nombreuses fautes et tu n'utilises pas toujours très bien la virgule. Cela dit, les phrases ne sont pas bancales et ne sont pas trop lourdes, même lorsqu'il s'agit de description.
Est-ce la fin de ta nouvelle ? Si c'est le cas, je la trouve assez « bancale » étant donné que tu introduis un nouveau personnage inutile. Si ce n'est pas le cas, je me demande bien quel sera son rôle ! Quelque chose à voir avec cet étrange château ?

Quoiqu'il en soit, ton texte est fluide, ce qui est quand même 'achement important.

Merci Noreply, d'avoir commenté ^^
non, non, c'est pas la fin de ma nouvelle, elle est assez longue en fait (trop)

Merci Noreply d'avoir commenté^^

bon je mets que quelques passages parce qu'elle est trop longue, j'arrive pas à écrire des nouvelles courtes ^^

Perdue dans mes pensées, je ne remarquai pas ce que j'aurai dû voir dès que j'avais posé les yeux sur la digue: là, face au lac, se tenait un homme, assis sur un rocher. Mais le plus étonnant est qu'il jouait... de la harpe! Les notes me parvenaient, comme porté par le vent. Je restai un moment à le regarder, trop stupéfaite pour bouger. D'où j'étais, je ne distinguais que ses longs cheveux qui ondulaient légèrement, portés par le vent. Je m'approchai lentement. J'avais peur de parler, peur de briser cette attitude si magnifique et spéciale. Je voulais parler, le questionner. Je ne pouvais pas. J'étais comme hypnotisée, chaque mot que j'aurais prononcé aurait été un sacrilège. Je vint m'asseoir dans la neige, près de lui. Son visage pâle était allongé, élégant mais surtout si lisse! Comme si sa peau était faite d'ivoire, de l'ivoire le plus pur que cette Terre ait jamais porté. Son front assez bas et dégagé, ses sourcils arqués, son nez droit et délicat, ses joues veloutées, ses lèvres fines et bien dessinées, son menton un peu avancé... tout, tout était sublime et parfait chez lui. Quant à ses yeux... Ils étaient bleus, d'une bleu si clair, si doux, si parfait! Ses paupières étaient un peu basses, ce qui ne l'enlaidissait absolument pas, au contraire cela lui donnait un air de calme divin. Ses cheveux ondulés étaient noirs, d'un noir très pâle cependant, tirant vers le gris, à l'instar de ses yeux. Quelques mèches rebelles retombaient négligemment sur son visage, sûrement du fait que sa queue de cheval lâche était trop basse. On aurait pu le confondre avec une statue, tant son visage était beau et son corps était fin et musclé. Ses mains qui couraient sur la harpe ressemblaient à des mains de femme par leur longueur et la finesse de ses doigts.